Amalfitains, Génois, Vénitiens et Florentins, l’essor de l’Italie commerçante : épisode • 8/6 du podcast Réseaux marchands et empires à l'époque moderne

Signe de la puissance vénitienne : le bucentaure, bateau de parade sur lequel le doge embarquait chaque année, le jour de l'Ascension, pour célébrer les noces de Venise avec la mer Auteur :  Copyright : Aucun(
Signe de la puissance vénitienne : le bucentaure, bateau de parade sur lequel le doge embarquait chaque année, le jour de l'Ascension, pour célébrer les noces de Venise avec la mer Auteur :  Copyright : Aucun( - Gallica / Bibliothèque nationale de France
Signe de la puissance vénitienne : le bucentaure, bateau de parade sur lequel le doge embarquait chaque année, le jour de l'Ascension, pour célébrer les noces de Venise avec la mer Auteur : Copyright : Aucun( - Gallica / Bibliothèque nationale de France
Signe de la puissance vénitienne : le bucentaure, bateau de parade sur lequel le doge embarquait chaque année, le jour de l'Ascension, pour célébrer les noces de Venise avec la mer Auteur : Copyright : Aucun( - Gallica / Bibliothèque nationale de France
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Quels étaient les rapports des marchands génois avec la Mer noire, la lointaine Asie et l’empire nomade mongol ? Comment les Amalfitains s’accommodaient-ils avec les musulmans pour commercer ? S’interroge Sanjay Subrahmanyam.

Avec
  • Sanjay Subrahmanyam Professeur à l'université de Californie à Los Angeles, professeur au Collège de France, Chaire Histoire globale de la première modernité.

Nouvelle diffusion du 19 octobre 2018

Et quelles étaient les relations des Vénitiens avec les Mamelouks ? Qui a pu tirer parti de la carte de l’adaptation, de l’entente ?  

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Historien polyglotte, spécialiste des histoires connectées, Sanjay Subrahmanyam, se partage entre l’université de Californie et sa chaire d’Histoire globale au Collège de France, où il est professeur invité. 

Il explore, cette année, dans le cadre de sa série, Réseaux marchands et empires à l'époque moderne, les rapports entre le monde politique et le monde des négociants qui étendent leurs activités économiques au-delà des mers et sous d’autres cieux.

Entre anecdotes, analyse fine des bases de données et des archives diverses et quotidiennes (comme les banales lettres de marchands qui s’avèrent des sources plus riches qu’il n’y paraît), nous voici plongés dans les réseaux marchands italiens et leur expansion en Méditerranée et aux confins de l’Asie. 

Quel rôle a pu jouer la commenda, ce simple contrat de participation ? Qu’ont fait les marchands florentins face au défi de l’essor portugais et castillan ? Quelle a été l’ultime tentative des Génois pour commercer avec l’Océan Indien ?

Et nous gagnons l’amphithéâtre du Collège de France, le 28 mars 2018.

L'équipe