Parlons peu, parlons de moi ou les heurs et malheurs de Jackie Berroyer.

Jackie Berroyer, dans la pièce "S'agite et se pavane", d'Ingmar Bergman, 2004
Jackie Berroyer, dans la pièce "S'agite et se pavane", d'Ingmar Bergman, 2004 ©AFP - Franck Fife
Jackie Berroyer, dans la pièce "S'agite et se pavane", d'Ingmar Bergman, 2004 ©AFP - Franck Fife
Jackie Berroyer, dans la pièce "S'agite et se pavane", d'Ingmar Bergman, 2004 ©AFP - Franck Fife
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Recueillies par Le Dilettante, le journal de bord et les chroniques musicales du jazzy Berroyer.

Publiées à l'origine dans la revue suisse Vibrations, dans Siné Mensuel ou dans Fluide glacial, les chroniques qui composent Parlons peu, parlons de moi tiennent à la fois du journal de bord et des émois d'un mélomane jazzy. Berroyer y déploie un art unique : celui de ne parler que de soi pour mieux parler des autres, de tout ramener à lui pour tout dire de ce qu'il aime chez autrui. On le voit ainsi nous conter ses amours, nous compter ses rares sous, mais c'est pour mieux évoques Miles Davis ou Emmanuel Levinas, Tristan Corbière ou Michel Serrault. Le plus court chemin de moi à moi passe par le monde entier, telle est la leçon. Régalant.