
Quand le chancelier Schröder engagea ces réformes, le pays était considéré comme l'homme malade de l'Europe.
Un taux de chômage élevé, une productivité faible et le coût immense de l'absorption récente de l'Allemagne de l'Est handicapaient l'économie du pays.
Les mesures prises qui visaient à responsabiliser les demandeurs d'emploi en réduisant la durée des indemnités de chômage ont, parmi tant d'autres, contribué à la relance de l'économie mais ont aggravé les inégalités sociales et augmenté le précarité du travail ainsi que le nombre de travailleurs pauvres...
Hans Stark est secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes et chercheur à l'Institut français des relations internationales (IFRI)
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