Au Kazakhstan, la Chine peut-elle prétendre remplacer la Russie ?

Le président chinois Xi Jinping  acceuille le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev en 2019
Le président chinois Xi Jinping  acceuille le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev en 2019 ©AFP - Mark Schiefelbein
Le président chinois Xi Jinping acceuille le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev en 2019 ©AFP - Mark Schiefelbein
Le président chinois Xi Jinping acceuille le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev en 2019 ©AFP - Mark Schiefelbein
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Avec Philippe Le Corre, chercheur au Carnegie Endowment for International Peace et à la Harvard Kennedy School, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).

Avec
  • Philippe Le Corre Chercheur au Asia Society Policy Institute et professeur invité à l'ESSEC

La Russie a achevé hier le retrait des 3000 soldats qu’elle avait dépêchés principalement dans le sud du pays… Le président kazakhstanais Kassym-Jomart Tokaïev avait en effet, dès le début des violentes émeutes contre la hausse des prix du gaz, non seulement donné l’ordre aux militaires de tirer, mais aussi fait appel à l’Organisation du traité de sécurité collective… Certes, l’Arménie, la Biélorussie et d’autres membres de l’OTSC avaient également envoyé quelques soldats chacun mais sans commune mesure avec Moscou, la puissance tutélaire.

Le Kazakhstan, immense pays au cœur de l’Asie centrale, fait comme un lien territorial entre Russie et Chine… Et Pékin aussi, y a des intérêts bien compris…

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