En Birmanie, la "société civile" peut-elle chasser l'armée ?

Des manifestants face à des forces de l'ordre, près du site Bagan classé par l'Unesco.
Des manifestants face à des forces de l'ordre, près du site Bagan classé par l'Unesco. ©AFP - STR
Des manifestants face à des forces de l'ordre, près du site Bagan classé par l'Unesco. ©AFP - STR
Des manifestants face à des forces de l'ordre, près du site Bagan classé par l'Unesco. ©AFP - STR
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Mouvements de grève dans les entreprises, mobilisation par corps de métier, manifestations transculturelles et religieuses : les Birmans font face à l'armée. Les députés déchus, eux, agissent au sein d'une sorte de gouvernement fantôme. Entretien avec l'ethnologue Bénédicte Brac de la Perrière.

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Les Birmanes et les Birmans continuent à faire montre de leur résistance face à l’armée qui a repris le pouvoir et fait basculer la fragile démocratie birmane en quelques heures le 1er février dernier.

Malgré les forces de sécurité déployées à nouveau cette nuit dans plusieurs quartiers de Rangoun, la capitale économique, malgré les tirs à balles réelles et les plus de 50 morts, des milliers de personnes ont manifesté hier encore dans tout le pays, et les syndicats ont lancé pour ce lundi un appel à une grève générale massive.

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