

La nouvelle présidence américaine de Donald Trump est plus qu’atypique, elle désarçonne la plupart des commentateurs internationaux. D’autant plus que les grands dossiers de politique étrangère ne semblent plus traités d’une façon professionnelle.
- Vincent Michelot professeur d’histoire politique américaine à l'Institut d’Etudes Politiques de Lyon.
Il y a d’abord la personnalité du nouvel élu (réputé incompétent, impulsif, imprévisible et contradictoire). Ensuite, la façon dont il s’est entouré. Enfin, ses méthodes (déclarations à l’emporte-pièce, communications urbi et orbi par tweets…). Bref, les premières lignes directrices sont difficiles à percevoir et la cohérence de l’ensemble est peu évidente.
Dans ce contexte, faut-il lier politique intérieure et politique étrangère pour dresser un très provisoire bilan des cinq premiers mois ? (Th. G.)
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America first, deuxième - 1917, 1947, 2017 : balbutiements transatlantiques, les leçons de l’Histoire Article publié par Vincent Michelot, professeur de sciences politiques à Sciences Po Lyon, dans le Nouvel Economiste n°1870 (juin 2017)
Deux débats diffusés par la chaîne publique France 5 :
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Reportage de la rédaction de la chaîne privée NBC : les espions du monde entier apprennent-ils au travers des tweets de Donald Trump ?
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Regard humoristiques et musical par les "amis historiques" des Etats-Unis, dans un magazine de la télévision publique allemande NDR :
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Réalisation web : Claude-Armand Decastiaux
________________________ Le mot de Thierry Garcin à tous ses auditeurs :
Après 33 ans d’« Enjeux internationaux », je tiens à remercier :
. les producteurs qui ont partagé ce projet dès l’origine, Dominique Rousset et Éric Laurent, projet voulu par ce grand directeur de France-Culture qu’était Yves Jaigu (1984) ;
. tous les chargés de production, d’abord indispensables et remarquables mais surtout si humains ;
. tous les réalisateurs, si inventifs et amicaux, qui ont construit ces « Enjeux » et ces nombreux reportages à l’étranger (largement plus d’une centaine), complémentaires du direct quotidien. Tant de souvenirs : la guerre civile du Liban, la Turquie de la junte militaire, la première Intifada dans les territoires occupés, la guerre Irak-Iran, toutes actualités rudes couvertes jusqu’à 2010 ;
. tous les techniciens, en studio ou à l’extérieur, à la bonne humeur inébranlable et roborative. Plaisir constant et affectueux de partager ces moments précieux avec eux au petit matin.
Où l’on voit d’ailleurs que la radio de service public, c’est surtout un travail collectif.
On doit plus que tout remercier tous les invités (il ne faut jamais oublier que France-Culture, c’est une magnifique table d’hôtes, unique en son genre dans le paysage radiophonique mondial). Ce sont eux qui ont assuré, par leur présence en direct (par téléphone ou en studio), à une heure peu chrétienne, la mise en perspective de l’actualité internationale. Vraiment, merci à eux : ils ont honoré le service public.
Mais j’ai un plaisir tout particulier à remercier tous nos amis auditeurs, qui ont été l’unique raison d’être, au bout du compte, de ces quelque 8 300 émissions.
Bref, il y a toujours une histoire de France-Culture à raconter.
Excellent été à tous !
Vous pouvez laisser un message à Thierry Garcin en lui écrivant directement à l'adresse : thierry.garcin@radiofrance.com
L'équipe
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