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Avec
- Vincent Boucher Chercheur à l’université du Québec à Montréal (UQAM)
On le savait depuis longtemps, le congrès (surtout, le sénat) se réserve un pouvoir important dans la conduite des affaires étrangères. Dans le domaine de la politique intérieure et dans les questions sociales (Medicare, par exemple), il peut aussi se montrer intransigeant ou puissant.
Mais, tout comme le président Clinton, Barack Obama aura eu à batailler durant les six dernières années de ses deux mandats avec un congrès hostile ou peu favorable. En quoi cette situation est-elle pénalisante pour l’exécutif ?
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La réponse est d’autant plus intéressante qu’on est à un an et demi de la présidentielle.
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