L'Otan est-elle vraiment en train de renforcer son "flanc est" ?

Le secrétaire général Jens Stoltenberg lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN consacrée aux tensions entre la Russie et l'Ukraine.
Le secrétaire général Jens Stoltenberg lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN consacrée aux tensions entre la Russie et l'Ukraine. ©AFP - JOHN THYS
Le secrétaire général Jens Stoltenberg lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN consacrée aux tensions entre la Russie et l'Ukraine. ©AFP - JOHN THYS
Le secrétaire général Jens Stoltenberg lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l'OTAN consacrée aux tensions entre la Russie et l'Ukraine. ©AFP - JOHN THYS
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Avec Amélie Zima , docteure en science politique et chercheuse au Centre Thucydide (Université Panthéon-Assas)

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  • Amélie Zima Docteure en science politique et chercheuse au Centre Thucydide (Université Panthéon-Assas)

Aujourd’hui commencent à Genève trois jours de pourparlers entre Russes et Américains sur la situation en Ukraine, que Vladimir Poutine dément vouloir envahir, mais dont il a beaucoup plus explicitement refusé qu’elle intègre un jour l’Otan comme le gouvernement ukrainien le souhaiterait.

De façon générale, Moscou ne veut pas voir l’Alliance atlantique se renforcer sur son flanc est, de quelle manière que ce soit. Ce serait pour elle un casus belli et une transgression de l’accord de bon voisinage qui lie la Russie à l’Otan depuis 1997.                   

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