Hommage au chanteur de folk qui est mort cette semaine à l'âge de 93 ans et qui laisse derrière lui quelques chansons fameuses, et coup de coeur pour un spectacle sans queue ni tête... ou quasi
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Faut-il avoir plus de trente ans (voire quarante) pour connaître Graeme Allwright, chanteur-compositeur et guitariste d’origine néo-zélandaise mais installé en France depuis les années 50 et qui vient de mourir à l’âge de 93 ans ? Graeme Allwright a écrit ses chansons mais aussi adapté des airs de folk américain, que ce soit de Woody Guthrie, de Bob Dylan, de Leonard Cohen ou cette chanson, « Petites boîtes », de Malvina Reynolds. mais sa chanson la plus connue est sans doute « Il faut que je m’en aille », enregistrée en 1966...
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Quant à l'Envie du weekend, il s'agit cette semaine d'un spectacle qui se joue au théâtre de la porte Saint-Martin à Paris...
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Il est intitulé « La carpe et le lapin » et de fait ça lui va bien. Sur scène, un bric à brac, un pianiste et deux comédiens qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre et qui ont un certain nombre de choses en commun. Elle c’est Catherine Frot. Lui, Vincent Dedienne. Elle est là avec son âge, sa culture, ses références, ses vieilles chansons françaises, sa fantaisie. Il l’accompagne avec sa génération, sa façon d’être, son humour et sa drôlerie. On ne sait pas exactement ce qu’on voit sinon un cadavre exquis et l’adjectif est à entendre dans son acception littérale. On sait juste qu’on sourit, on rit, on s’émeut, on apprécie les poèmes de Verlaine, de Senghor, de Duras, les textes d’Annie Ernaux, de Walter Benjamin, de Samuel Beckett, les chansons de Bobby Lapointe, de Barbara… Le tout sans que rien n’y paraisse, dit comme ça, entre eux, avec beaucoup d’harmonie même si le tout est complètement loufoque… leur mariage scénique fonctionne très bien et surtout, le spectacle est inédit, on prend un grand plaisir à les regarder pendant 1h25 et personne d’autre qu’eux ne pourra le refaire. A voir, donc.
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