Depuis mercredi, le Grand Palais ouvre ses portes à Edward Hopper, peintre emblématique de l’Amérique moyenne des années 30, 40 et 50. Parallèlement, l’Hôtel de Ville de Paris consacre une exposition aux liens entre la capitale et Hollywood. Et, parallèlement encore, Francis Scott Fitzgerald fait son entrée dans la Pléiade, accédant ainsi à la reconnaissance suprême de la France qu’il a tant aimée… Il ne nous en fallait pas plus pour concocter une émission comme nous aimons en faire aux Matins, un voyage à la frontière de la peinture, du cinéma et de la littérature, avec pour fil conducteur la façon dont l’Amérique a fantasmé Paris, qui le lui a bien rendu… Jazz, alcool, solitude, vie quotidienne et rêve, c’est toute l’Amérique d’avant les années 60 qui résonne dans votre poste ce matin.
Pour nous accompagner dans ce voyage, deux commissaires, plus artistiques que policiers : Didier Ottinger , directeur adjoint du Centre Pompidou, commissaire de l’exposition Edward Hopper, et Antoine de Baecque , historien, critique de cinéma, éditeur et commissaires de l’exposition Paris-Hollywood.

Didier Ottinger
Directeur adjoint du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, Musée national d'art moderne
Commissaire de l’exposition Edward Hopper qui s’ouvre au Grand Palais le 10 octobre
Antoine De Baecque
Historien
Critique d’art et de cinéma
Editeur
Commissaire de l’exposition « Paris vu par Hollywood » à l’hôtel de ville
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