- Robert Littell Ecrivain
Après l’effort, le réconfort, ce matin nous faisons un pas de côté et ouvrons la porte à la littérature. Pas n’importe laquelle : le roman noir et pas n’importe quel auteur : Robert Littell. Souvent présenté comme le « John le Carré américain », vous entretenez, Robert Littell, un attachement particulier avec la France. C’est en effet ici en France, que vous avez atterri en 1970 après 4 ans passés dans la Navy et six ans passés à travers le monde pour le magazine Newsweek où vous étiez grand reporter. En 1970, vous plaquez donc tout, pour arriver en France et écrire votre premier livre intitulé la Boucle qui sera publié sous forme de feuilletons dans l’Express. Pour traduire ce premier livre, qui mieux qu’un collègue français pour faire le boulot ? Oui, c’est Jean Patrick Manchette, celui qui a fait les belles heures de la mythique collection Série Noire qui a traduit, avec son épouse Mélissa, votre premier roman.Depuis, vous avez écrit une douzaine de romans d'espionnage, dont le plus connu, La Compagnie : le grand roman de la CIA, retrace l'histoire de la guerre froide (de 1950 à 1995 pour être exact) à travers les destins croisés de personnages du KGB et de la CIA. Votre nouveau roman intitulé Une belle saloperie est paru hier aux éditions Baker Street et il y est toujours question d’espionnage et de CIA. Mais cette fois loin du froid, en zone de guerre chaude, entre Nouveau Mexique et Afghanistan.

avec:
Robert Littell
Ancien journaliste à Newsweek, spécialisé dans les affaires russes et moyen-orientales
Auteur de plusieurs romans, vient de publier aux éditions BakerStreet « Une belle saloperie »
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