

En 2015, les prélèvements obligatoires ont représenté 45% du PIB en France. Cela pèse sur les coûts de production, et sur la croissance. Autre détail qui a son importance à l'export : le maintien de la reconnaissance des AOC, notamment par les Britanniques après leur sortie de l'union européenne.
Le chiffre du jour
3.400 : c'est le nombre d'indications géographiques (AOP pour appellation d'origine protégée, et IGP pour indication géographique protégée), que l'Union européenne protège au titre de la propriété intellectuelle environ. Bruxelles demande à Londres de reconnaître de telles appellations (Chablis, Mozzarella, Roquefort, jambon de Parme, etc.) au-delà de sa sortie de l'Union européenne. Car à l'export, cela se ressent...
Le fait du jour
Selon une étude de l’institut COE Rexecode, la France restait en 2015 championne des prélèvements obligatoires en Europe. Des prélèvements qui pèsent (trop) lourd sur les coûts de production des entreprises, et par conséquent, sur la croissance.