

Troisième temps d'une semaine autour de la lecture. Aujourd'hui, nous tentons de comprendre l'apport des nouveaux outils numériques permettant aux chercheurs de renouveler les modes de lecture.
- Frédéric Glorieux ingénieur informaticien, membre du laboratoire OBVIL
- Maxime Perret chercheur, chargé d'édition chez eBalzac
- Marianne Reboul doctorante en litétrature (université Paris-Sorbonne), membre de l'OBVIL
Que lisons-nous, et comment lisons-nous ? Nos pupilles se sont peu à peu accommodées à changer de paysage, de la lumière du papier au grain de l’écran. Mais ce n’était là qu’une infime étape de cette “révolution de la lecture” que permet le numérique… Des bibliothèques exhaustives, des éditions rares enfin disponibles : les interfaces ont ouvert le champ de la lecture. Des outils scientifiques élaborés par et pour des chercheurs proposent une lecture enrichie, augmentée , savante. Ce sont de toutes ces lectures qui s’offrent nouvelles à nous, dont nous parlons aujourd’hui.
Avec Frédéric Glorieux, ingénieur ingénieur de recherche en informatique linguistique et documentaire, il travaille pour le labo OBVIL, Observatoire de la Vie Littéraire qui s’intéresse aux liens entre littérature et numérique. Il est accompagné de Marianne Reboul, doctorante membre de l'OBVIL qui travaille pour le projet Odysseus à un outil de comparaison automatique des traductions de l’Odyssée d’Homère et de Maxime Perret, chercheur balzacien qui a participé au projet eBalzac, le portail numérique de La Comédie Humaine.
Vouloir rendre ce que Balzac a écrit, c'est ça notre mission [...] : diffuser et donner à lire le texte le plus exact -- Maxime Perret
Il me manquait un outil pour ce que je voulais faire ; il faudrait démocratiser cet outil, il faudrait que ça puisse s'appliquer à d'autres textes -- Marianne Reboul
Programmation musicale :
- Barbara, Pénélope
- The head and the heart, Library magic
L'équipe
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