Justine Bo vous parle de son roman "Si nous ne brûlons pas", et Melanie Torrent du Commonwealth, possible planche de salut du Royaume uni. Les chroniques s'intéressent au débat au Parlement sur les frappes en Syrie et à la solitude du pouvoir.
- Melanie Torrent Maître de conférences en histoire et civilisation britanniques à l'Université Paris Diderot
- Oriane Jeancourt Galignani Romancière, critique, rédactrice en chef du magazine Transfuge.
- Justine Bo réalisatrice et écrivaine
Le Réveil Culturel : Tewfik Hakem s'entretient avec Justine Bo, réalisatrice et écrivaine, pour Si nous ne brûlons pas, aux éditions des Equateurs, un roman manifeste à la verve insurrectionnelle qui parle de notre époque et d’un parcours, celui de Justine, une jeune fille qui cherche à fuir un chemin tracé pour elle et tenter d’échapper ainsi aux assignations sociales, aux appartenances culturelles. Fuir mais pour aller où ? Le désenchantement est global et touche tous les territoires.
Au-delà des langues, des cultures, des barrières, des frontières, tous les mécanismes de domination sont les mêmes partout dans le monde.
Mon roman c’est de la rage, une façon de se poser dans le monde sans tout à fait l’accepter mais en y étant tout de même. Le livre parle des rapports de domination et la narratrice se rend compte que toutes ces personnes contre qui va elle va exprimer sa colère sont des personnes oppressées de la même façon par ce pays dans lequel elle ne se sent pas tout à fait à sa place, elle se sent comme une citoyenne de seconde zone pour différentes raisons.
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Les coups de coeur du magazine Transfuge avec Oriane Jeancourt, écrivaine et rédactrice en chef littérature du magazine Transfuge : littéraire pour Si nous ne brûlons pas de Justine Bo et cinéma pour le film Mektoub My Love : Canto Uno d'Abdellatif Kechiche.
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Le Journal des Idées par Jacques Munier : Un débat est organisé à l’Assemblée nationale ce lundi à 17h à propos de l’opération militaire menée par Paris, Londres et Washington contre des sites chimiques syriens.
Comme le rappelle Le Monde, la Constitution stipule, dans son article 35, que le gouvernement « informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention ». « Il précise les objectifs poursuivis. Cette information peut donner lieu à un débat qui n’est suivi d’aucun vote », ajoute l’article. Lorsque la durée de l’intervention excède quatre mois, le gouvernement soumet sa prolongation à l’autorisation du Parlement. On sait que l’intervention française n’a pas suscité d’union sacrée, de nombreuses voix critiquant cette action menée sans mandat de l’ONU. Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, ou encore Laurent Wauquiez l’ont dénoncée. Le Parti socialiste, des personnalités comme Alain Juppé et Xavier Bertrand, ou encore l’UDI soutiennent, en revanche, cette opération. Pour le président de l’Assemblée nationale François de Rugy, ce débat permettra aux Français de voir « qui, parmi les parlementaires en France, fait preuve d’une grande mansuétude – pour ne pas dire une grande faiblesse – à l’égard de la Syrie de Bachar Al-Assad, mais aussi de la Russie », et « ce qu’ils feraient s’ils étaient aux responsabilités en pareilles circonstances ».
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Les Enjeux Internationaux par Xavier Martinet : 53 pays et Londres au milieu : un rêve promu par certains à Whitehall, alors que se tient aujourd’hui dans la capitale le sommet des chefs de gouvernement du Commonwealth. En suggérant une alternative possible à l’UE après le Brexit, quel est l’objectif des autorités britanniques ?
Depuis 3 ans – et le référendum sur le Brexit – le thème d’un Commonwealth alternative, voire substitut à l’Union Européenne, revient régulièrement au printemps. L’idée – essentiellement portée par les secrétaires d’Etat Liam Fox et Boris Johnson – prévoit un resserrement des liens existants mais aussi des partenariats économiques nouveaux avec des pays préférentiels.
Xavier Martinet s'entretient avec Melanie Torrent, maître de conférences en histoire et civilisation britanniques à l'Université Paris Diderot.
L'Humeur du matin par Guillaume Erner : Lors de l'interview menée par Jean-Jacques Bourdin et Edwy Plenel, il était demandé à Emmanuel Macron de juger le comportement vis-à-vis du fisc de deuc oligarques présumés être ses amis, Bernard Arnault et François Pinaut. « Je n'ai pas d'amis » a alors répondu E. Macon, un cri du coeur ou un cri de la raison, une vraie rupture avec les présidents précédents. Une manière bien entendu de dire que l'on est inaccessible au conflit d'amitié, que l'on est le président de tous, et l'ami de personne, mais aussi une manière d'évoquer la solitude du pouvoir, celui qui isole et esseule. A moins qu'il n'y ait une manière encore plus noire d'entendre cet aveu : je n'ai pas d'amis, je n'ai que des obligés, je n'ai que des courtisans.
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