Jacques Audiard, deuxième !
- Raymonde Arcier Artiste féministe qui tricote le fil de fer
- Jacques Audiard Réalisateur de cinéma
Après une évocation de la vision dramatique et esthétique qui sous-tend son univers, seconde partie, ce soir, de notre rencontre-entretien avec le cinéaste Jacques Audiard. Il sera question de Mortelle randonnée, de son rapport aux sons et à la musique, de son rapport au scénario et au public.
La chronique de Céline du Chéné :
Céline du Chéné reçoit dans l'Encyclopédie pratique des mauvais genres, l'artiste Raymonde Arcier dont l'œuvre "Au nom du père" vient d'entrer dans les collections du Centre Georges Pompidou et qui expose son armure tricotée en maille de fer "Art(t)mure pour art(r)iste" durant l'exposition collective " Soft Power". A voir en ce moment au centre d'art contemporain Transpalette, à Bourges, jusqu'au 19 janvier 2019. Commissariat assurée par Julie Crenn.
La chronique de Christophe Bier : Le signe de la croix
Cecil B. DeMille est le grand cinéma de la démesure, des scènes de baignoire, du kitsch et du sadisme. Il faut oublier Les Dix Commandements pour ne retenir que Le Signe de la croix, chef-d’œuvre d’outrances et d’audaces, d’une folle invraisemblance, qui choqua les censeurs et les ligues catholiques. Après l’arrivée du code Hays, le film ressortit coupé des scènes les plus « fâcheuses », restituées en 1993. DeMille est obsédé non pas par la foi catholique mais par les exubérances sexuelles, le sadisme, l’homosexualité onctueuse de Néron et la bisexualité gourmande de Poppée.
Le Signe de la croix (The Sign of the Cross, 1932), de Cecil B. DeMille. DVD Eléphant Films, collection "Cinéma Master Class", blu-ray et DVD, VOSTF, nombreux bonus (présentation du film et de Cecil B. DeMille par Jean-Pierre Dionnet, portrait de Claudette Colbert, Hollywood au temps du Code Hays).
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