Imaginez une maison de poupée hantée, un coffre à jouet qui s'ouvrirait sur les abîmes de la peur, un goûter d'anniversaire où les poupées parlent et où les petites filles font tourner les tables à dessert, imaginez le "carrousel des maléfices"...
- La big Bertha Dragqueen performeuse burlesque
- Amandine Urruty Artiste. Œuvre dans les domaines de l'illustration et du street art, en France et à l'international.
Imaginez, imaginez… et vous ne serez pas loin du monde fascinant de la dessinatrice virtuose Amandine Urruty.
Requérant une technique de la mine et du fusain héritée d'Ingres et de l'académisme classique, imprégnée d'un univers fantastique où se croiserait Bosch et Jacques Tourneur, elle est sûrement une des plus grandes visionnaires fantastiques actuelles.
"Mauvais Genres" lui rend visite en grand équipage, alors que les éditions de l'Éclisse lui consacrent un superbe album préfacé par Pacôme Thiellement.
J’aime décrire [mon univers] comme un univers ambivalent, à la fois mièvre et gluant, doux et rugueux, rose et noir. Même s’il est un peu plus noir que rose… (Amandine Urruty pour le magazine "L'Arrogante")
Chroniques en second temps d'émission
- Exposition " Sang de colère" de Denis GRRR - du 17 mars au 30 avril 2021 chez Manjari & Partners.
- La Météorite de Hodges, de Fabien Roché, chez Delcourt.
- L’Œil du chasseur, de Philippe Foerster et Philippe Berthet, chez Anspach ( nouvelle édition).
Dans l'Encyclopédie pratique des Mauvais Genres
Céline du Chéné reçoit ce soir la Big Bertha, dragqueen performeuse burlesque. Maîtresse de cérémonie du Big Bertha’s Klub, on peut la retrouver aujourd’hui au cabaret Le Secret de monsieur K où elle est résidente ainsi que le 3 avril 2021 au Diva’s Kabaret, événement en ligne.
- Bertha's Fantasia
- Instagram : La Big Bertha
- Instagram : La Bertha's Fantasia
La chronique de Christophe Bier
J'adore Marquix
En rassemblant des peintures et dessins effectués entre 2002 et 2020, et en les soumettant à un traitement graphique d’altérations, Antoine Marquis les couvre d’anonymat, comme des œuvres « trouvées dans une poubelle », fragments d’un monde dérisoire et sans flamboyance. « De cet ensemble, nous dit-il, je voulais qu'il émane un sentiment mêlé de candeur et de violence, de drôlerie et de tragique, de bars PMU et de haras fantastiques. » C’est le premier ouvrage important de cet artiste hors des modes, mais il l'a signé Marquix.
J’adore Paris, de Marquix [ Antoine Marquis], Les Lilas et Batt Coop, Paris, 20210.
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