

Dominique Maisons, dans son dernier polar, capture l'atmosphère de Paris en 1909, inspiré par la littérature populaire de l'époque, et reconstitue le contexte social et l'ambiance tendue après la séparation des Églises et de l'État dans un thriller sourcé où l'on croise Gaston Leroux ou Alfred Binet
- Dominique Maisons écrivain
Aujourd'hui, dans Paso Doble :
Dominique Maisons, écrivain, pour le thriller On se souvient du nom des assassins, aux éditions de la Martinière.
La fascination pour le crime dans les grands procès, dans les journaux prend beaucoup d’ampleur à cette époque (1909), il y a un retournement de la littérature vers de la littérature de genre qui naît à cette époque-là, d’où le titre « on se souvient du nom des assassins » : on commence à faire des vedettes des personnages dont les agissements les auraient auparavant condamnés à l’opprobre et à la plus grande discrétion.
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Gaston Leroux était un personnage assez étonnant, il avait fait quelques enquêtes journalistiques assez aventureuses, n’hésitant pas à prendre des risques, avant de se consacrer définitivement à l’écriture. Mon roman se base sur des élements biographiques réels, il y a des passages de la vie de Gaston Leroux.

Résumé de l'éditeur
Max Rochefort, dandy parisien et feuilletoniste à succès, croise le chemin de Giovanni Riva, jeune employé du journal Le Matin. L’excentrique Rochefort prend le jeune homme à son service dans son atelier d’écriture. Mais la réalité rattrape les meilleurs scénarios issus de l’imagination de Max: lors d’une soirée mondaine, un cardinal est retrouvé mort, atrocement mutilé dans sa chambre d’hôtel. Sous pression politique, la Sûreté doit désigner un coupable rapidement. Pour sauver une jeune innocente accusée du crime, Max et Giovanni se lancent dans l’enquête… Entourés d’une ligue de gentlemen extraordinaires – l’écrivain Gaston Leroux, l’aéronaute Louis Paulhan, le psychologue Alfred Binet et bien d’autres –, ils seront conduits des splendeurs aux bas-fonds du Paris bouillonnant et amoral de 1909.
Musique choisie par l'invité
Leonard Cohen « I’m your man »
L'équipe
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