

A la table ce soir Alejandro Jodorowsky, Pascale Montandon-Jodorwosky et le réalisateur Jan Kounen, à l'occasion de l'exposition"L'androgyne alchimique" consacrée à pascALEjandro, la création collaborative de Pascale Montandon-Jodorowsky et d’Alejandro Jodorowsky jusqu'au 11 juin à la galerie Alaïa.
- Pascale Montandon-Jodorowsky peintre, créatrice de costumes et de décors
- Alejandro Jodorowsky Réalisateur
- Jan Kounen Réalisateur, producteur et scénariste français
- E X P O S I T I O N " Alchimique Androgyne" du 20 avril au 11 juin à la galerie Azzedine Alaïa

pascALEjandro, né de l’amour entre ces deux personnes, comme un « enfant spirituel », est une oeuvre de peinture : Alejandro Jodorowsky, cinéaste, poète, scénariste de bandes dessinées, grande figure de la psychomagie, trace les lignes et pose les symboles, marquant l’élément masculin; l’image est ensuite emplie de couleurs par Pascale Montandon-Jodorowsky, peintre, créatrice de costumes et de décors.
Après des présentations dans des institutions telles que le CAPC - Musée d’Art Contemporain de Bordeaux et le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, mais aussi dans l’exposition spéciale "Desire" conçue par Diana Widmaier Picasso avec Jeffrey Deitch et Larry Gagosian à Art Basel Miami Beach en 2016, cette exposition, rassemblant une trentaine d’oeuvres anciennes empruntées à d’importantes collections privées, et une trentaine d’oeuvres nouvelles créées spécifiquement à cette occasion, donne pour la première fois un aperçu sur la création artistique et existentielle qu’est pascALEjandro.
Elle sera accompagnée d’un ouvrage édité par l’Association Azzedine Alaïa avec Actes Sud, poursuivant la collaboration entreprise par le couturier il y a deux ans par le catalogue de l’exposition de l’oeuvre visuelle d’Adonis. Des contributions d’Adonis, qui a joué dans Poesía Sin Fin, d’Edgar Morin, de Diego Moldes, de María-Inés Rodríguez, de Philippe Rouyer, de Diana Widmaier Picasso, d’Olivier Zahm accompagnent deux entretiens avec pascALEjandro, par Klaus Biesenbach et Hans Ulrich Obrist, dans ce volume ouvert par un avant-propos d’Azzedine Alaïa, clos par un épilogue de pascALEjandro et dirigé par Donatien Grau.
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