La ville sert-elle d'abord à faire la guerre ?

France Culture
Publicité
Avec
  • Gérard Chaliand Géostratège, spécialiste de l'étude des conflits armés et des relations internationales et stratégiques
  • Bénédicte Tratnjek Agrégée de géographie, professeure au lycée Garnier à Chambéry et au département de géographie de l’université Savoie Mont-Blanc, auteure du blog Géographie de la ville en guerre.

En ce jour anniversaire des attentats du 11 septembre 2001, Planète terre vous convie à partager cette question : « la ville sert elle d’abord à faire la guerre ? » Car la tragédie du 11.9 est emblématique de la prégnance de l’urbain dans les situations de guerres contemporaines. Réciproquement, la condition urbaine n’échappe plus à l’imaginaire et à la représentation du chaos. Notre quotidien est rythmé par les images et les bruits des explosions en ville ou des traces tenaces de la guerre : Bagdad, Damas, Beyrouth, Kaboul, Sanaa; Madrid, Londres, Bombay Belfast, Jérusalem, Mostar, Grozny Bangui, Tombouctou, Mogadiscio, Goma. Et bien d'autres. « La ville sert elle d’abord à faire la guerre ? », cette question est un de ces enjeux globaux dont se saisit la nouvelle formule de Planète terre aujourd'hui.

Les traces de la guerre de l'été 2006 dans la ville-centre
Les traces de la guerre de l'été 2006 dans la ville-centre
MITROVICA : Le quartier rom de Mitrovica après sa destruction au lendemain de la guerre
MITROVICA : Le quartier rom de Mitrovica après sa destruction au lendemain de la guerre

L'équipe