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A l'occasion de la parution d'Inédits chez P.O.L., retour sur l'oeuvre d'un artiste-écrivain-culte, Edouard Levé, "qui se voulait sans style, refusant la limitation que celui-ci impose au créateur".
En 2007, l’écrivain-artiste Edouard Levé choisit de se donner la mort, non sans avoir pris le temps de remettre le manuscrit de Suicide à l’éditeur Paul Otchakovsky-Laurens. Auparavant, il avait publié Œuvres, Journal et Autoportrait, toujours chez P.O.L. On lui doit aussi des livres d’art et des séries photographiques. Dans un style neutre, il passait de l’anodin au saugrenu, de la continuité à la rupture, décrivant développant ce que l’écrivain Thomas Clerc appelle un “art de la défamiliarisation”.
Avec Thomas Clerc qui a signé la présentation d’ Inédits d’Edouard Levé et a collaboré à sa réalisation avec l’IMEC (Institut de la mémoire de l’édition contemporaine).
A signaler : Rencontre avec Thomas Clerc à l'occasion de la parution des Inédits d' Edouard Levé, le mercredi 23 novembre à la Maison de la Poésie de Paris.
Une émission en partenariat avec La Croix L’Hebdo
Retrouvez la rubrique "un poème pour la route" de Stéphane Bataillon chaque vendredi dans La Croix L’Hebdo et sur https://poesie.blogs.la-croix.com/
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