

La poésie ça s’adresse. Aux poètes, à Sylvia Plath et même à Perséphone. A écouter ce soir avec la poétesse Valérie Rouzeau, la philosophe et écrivaine Gwenaëlle Aubry et l’écrivaine et artiste Marcelline Delbecq.
- Marcelline Delbecq artiste et écrivaine
- Valérie Rouzeau poétesse
- Gwenaëlle Aubry romancière, philosophe, chercheuse au CNRS
"It stuck in a barb wire snare.
Ich, ich, ich, ich,
I could hardly speak.
I thought every German was you.
And the language obscene"
Daddy, Sylvia Plath
Elles sont trois + une. Gwenaëlle Aubry, Valérie Rouzeau, Marcelline Delbecq + Sylvia Plath. Elles sont philosophe, écrivaine, photographe, poétesse. La première a fait de Persephone la matrice de sa langue. La seconde écrit la vie par petit bouts, des vers sur ressorts, des poèmes solitaires à syntaxe folle-fluide. La troisième écrit pour se débarrasser du temps, des objets, et ne garder que l’image. La première traque chez Sylvia Plath le point d’ajustement de l’écriture à la vie. La seconde la traduit. La troisième la place au centre de son « académie intérieure ».
Gwenaëlle Aubry, Lazare mon amour (l'Iconoclaste) et Perséphone 2014 (Mercure de France)
Valérie Rouzeau, Va où et Pas revoir (La Table Ronde)
Un extrait du spectacle de Gwenaëlle Aubry, Lazare mon amour , joué aux Champs libres de Rennes :
Lazare mon amour
1 min
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