Fabrice Luchini et son amour de l'art du portrait en littérature

L'écrivain français Jean Cau chez lui à Paris en avril 1982, France.
L'écrivain français Jean Cau chez lui à Paris en avril 1982, France.  ©Getty - (Photo by Micheline PELLETIER/Gamma-Rapho via Getty Images)
L'écrivain français Jean Cau chez lui à Paris en avril 1982, France. ©Getty - (Photo by Micheline PELLETIER/Gamma-Rapho via Getty Images)
L'écrivain français Jean Cau chez lui à Paris en avril 1982, France. ©Getty - (Photo by Micheline PELLETIER/Gamma-Rapho via Getty Images)
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Acteur de théâtre et de cinéma, metteur en scène, Fabrice Luchini confie son goût pour le portrait, la réplique, l’aphorisme. Le comédien évoque son nouveau spectacle où il lit des portraits signés notamment par Jean Cau et Philippe Lançon .

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Ce n'est pas la première fois que comédien évoque son rapport "organique" avec la littérature. Dans son nouveau spectacle, "Conversation autour des portraits et des autoportraits", Fabrice Lucchini continue de se confier sur ses passions littéraires. Cette passion est célébrée à travers les portraits de figures célèbres ou anonymes. L’idée lui en est venue après la découverte des "Croquis de mémoire" de Jean Cau, dont les portraits font revivre Jean Cocteau ou Gaston Gallimard, qui se hausse selon lui "presque au niveau de la grande littérature". Une véritable sidération. 

J'ai découvert grâce à Jean Cau, la littérature méchante.

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Son attirance pour le "transgressif" se poursuit avec le portrait féroce de Paul Verlaine par Arthur Rimbaud. Le texte de Philippe Lançon, qui décrit la chirurgienne qui l’a opéré après l’attentat de Charlie Hebdo est également évoqué. Le comédien termine par le sourire crépusculaire de la touriste blonde de Philippe Muray.

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