La littérature et la condition animale

Couverture d'un livre pour enfant, "Les animaux en train de plaisir", de J.Jacquin, illustrations de G.H.Thompson
Couverture d'un livre pour enfant, "Les animaux en train de plaisir", de J.Jacquin, illustrations de G.H.Thompson ©AFP - edition Hachette et Cie, 1885, Paris. Collection Selva. © Selva/Leemage.
Couverture d'un livre pour enfant, "Les animaux en train de plaisir", de J.Jacquin, illustrations de G.H.Thompson ©AFP - edition Hachette et Cie, 1885, Paris. Collection Selva. © Selva/Leemage.
Couverture d'un livre pour enfant, "Les animaux en train de plaisir", de J.Jacquin, illustrations de G.H.Thompson ©AFP - edition Hachette et Cie, 1885, Paris. Collection Selva. © Selva/Leemage.
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Avec les auteurs Jean-Baptiste Del Amo et Isabelle Sorente, la production animale entre pour la première fois dans la littérature. Je commencerai par leur demander ce qui les a conduit à choisir ce sujet et lui donner une forme romanesque.

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Dans Règne animal, Jean-Baptiste Del Amo retrace, du début à la fin du vingtième siècle, l'histoire d'une exploitation familiale vouée à devenir un élevage porcin. 180 jours, c'est le temps qui sépare la naissance d'un porc de sa mort à l'abattoir. Ce sont aussi les six mois qui font basculer la vie d'un homme. C'est aussi le titre du roman d'Isabelle Sorente.

Avec ces deux auteurs, la production animale entre pour la première fois dans la littérature. Je commencerai par leur demander ce qui les a conduit à choisir ce sujet et lui donner une forme romanesque.

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