

Tout en reconnaissant une dette immense à l'égard de la Révolution, Alain Finkielkraut débat aujourd'hui avec ses invités de la "douceur de vivre" des dernières années de l'Ancien Régime.
Emmanuel de Waresquiel (Historien et éditeur), Benedetta Craveri (Professeur de Langue et de Littérature françaises à l’Université de Viterbe).
Tout en reconnaissant notre dette immense à l'égard de la Révolution, je suis, depuis longtemps, intrigué et même fasciné par cette confidence de Talleyrand à Guizot " Qui n'a pas vécu dans les années voisines de 1789 ne sait pas ce que c'est que la douceur de vivre."
Faute d'avoir vécu dans ces années-là -à l'impossible nul n'est tenu- mes deux invités d'aujourd'hui les ont étudié avec une érudition passionnée. Ils vont pouvoir ainsi répondre à la question qui me hante : de quoi cette douceur était-elle faite ? quels en étaient les protagonistes et les bénéficiaires ?
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