




À propos de la série
Serge Gainsbourg, comme un boomerang, nous revient des jours passés. "La compagnie des oeuvres" lui consacre cette semaine quatre épisodes retraçant son existence et son oeuvre, que l'on pourrait évoquer de concert, et à rebours : la révérence tirée…
Serge Gainsbourg, comme un boomerang, nous revient des jours passés. "La compagnie des oeuvres" lui consacre cette semaine quatre épisodes retraçant son existence et son oeuvre, que l'on pourrait évoquer de concert, et à rebours : la révérence tirée rue Verneuil, le surgissement de "Gainsbarre", la consécration d'artiste et les amours iconiques - BB, Jane, Bambou -, le premier 33 tours - "Du chant à la Une !" -, la venue à la musique, l'abandon de la peinture, les jeunes années sous l'occupation, l'étoile jaune, les leçons de piano du père, musicien de casino qui jouait, une fois de retour chez lui, Chopin et Debussy les yeux fermés, et la prime enfance enfin, bercée par la langue russe et yiddish des parents.
Provenant de l'émission
L'émission s’ouvre à toutes les disciplines et s’intéresse désormais à tous les grands créateurs et toutes les grandes créatrices du patrimoine culturel mondial de l'humanité : littérature, mais aussi arts plastiques, musique, cinéma et arts de la scène.