L’Affaire Petiot : un podcast à écouter en ligne | France Culture

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L’Affaire Petiot
Chaudière dans laquelle le docteur Marcel Petiot incinérait les corps de ses victimes
Pendant l’occupation, un docteur nommé Petiot soignait le jour et tuait la nuit.
28 min
Avis de recherche de Marcel Petiot daté du 13 mars 1944, signé par le directeur général de la Police judiciaire, Guillaume Tanguy
Le docteur Petiot était-il fou ? Tuait il par idéologie ou par appât du gain ?
28 min

À propos de la série

Pendant l’occupation un docteur nommé Petiot soignait le jour et tuait la nuit.

Épisode 1 : Au n° 21 de la rue Le Sueur

C’est au cours de la journée du 11 mars 1944, que des habitants du 16e arrondissement alertent les pompiers. Depuis plusieurs jours, une odeur insoutenable se dégage de la cheminée de l’hôtel particulier situé au n° 21 de la rue Le Sueur. Son propriétaire, le Dr Petiot est absent. Les pompiers, en fracturant la fenêtre, découvrent dans la cave des corps découpés ou encore brulés, dont certains encore dans la chaudière. Vingt-sept cadavres sont finalement identifiés. La plupart des victimes sont des juifs qui cherchaient à fuir la Gestapo et quelques truands.

Épisode 2 : L’énigme de la folie humaine

Le Dr Petiot était-il fou ? Tuait il par idéologie ou par appât du gain ?  
Dans la France occupée, on suit au jour le jour la traque du criminel. Le Dr Marcel Petiot a pris la fuite le jour-même de la découverte des cadavres. Caché sous une fausse identité parmi les Forces Françaises de l’intérieur (FFI), il est finalement interpellé et arrêté le 31 octobre 1944, sept mois après la découverte des cadavres.

Cour de l'immeuble du  21 de la rue Le Sueur, dans le 16ème arrondissement de Paris
Cour de l'immeuble du 21 de la rue Le Sueur, dans le 16ème arrondissement de Paris
- Fonds et collections du Musée et des Archives de la Préfecture

Provenant de l'émission

Une histoire particulière, un récit documentaire en deux parties, le samedi et le dimanche de 13h30 à 14h sur France Culture

Raconter des histoires du réel, et par le singulier toucher l’universel.