


À propos de la série
Leo Castelli a été le plus grand marchand d'une histoire de l'art américain qui, jusqu'à lui, n'avait pas le moindre rayonnement. Sous sa férule, les Etats-Unis vont supplanter la France, jusqu'à la victoire historique de Rauschenberg à la Biennale de Venise 1964.
Épisode 1 : Leo, dans l'ombre de Pollock... et de la CIA
On aime bien gloser sur le rêve américain du jeune juif immigré, alias Leo Krauss, né à Trieste en 1907, ayant du fuir l'Italie fasciste puis la France vichyste. Le découvreur de l'avant-garde américaine ou l'humaniste qui parlait sept langues... On connait moins le rôle trouble joué par Leo Castelli qui, profitant du duel USA/ URSS, va régner en maître incontesté durant près de 40 ans sur un marché nouveau, celui de l'art.
Épisode 2 : Leo dans l'ombre d'Ileana. La consécration du Pop Art passe par Venise
C'est à Paris, capitale des arts, qu'Ileana vient s'installer après son divorce. Elle ouvre une galerie rue Mazarine en 1962 et montre pour la première fois en Europe les pop artistes que son mari a imposé à New-York : Johns, Warhol, Lichtenstein...
Provenant de l'émission
Raconter des histoires du réel, et par le singulier toucher l’universel.