

Lambersy nous équipe pour l’automne, bascule saisonnière dans cet autrefois poétique où les escargots nous emmenaient à l’enterrement.
Mais Werner est sans feuille morte, toujours grave et drôle.
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La Grande Roue nous accorde sa puissance d’image, couchée au sol, Babel effondrée ou cycle d’une illusion, enfance déprogrammée. Le poème étiré ne donnera pas la raison ni les causes du drame. Il propose sa mélancolie réparatrice.
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Werner Lambersy est un charmeur et souffre d’abondance. Boulimique de l’affection ( j’en connais d’autres…) mais il se soigne, attention ! Ce type est un empoisonné de sa poésie, ne se rend pas compte que la moindre de ses notes devient un rythme.
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C'était un tour pour / Rien un dernier tour / Gratuit pour les morts
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