
Là, on se pose en terre Irlandaise, recevant ces vers d’une nation entière, par chœur intime aspirant un retour. Suivent quelques réactions de Yeats sur son sol irlandais, une adresse aux poètes, appel à l’amour propre et à la fierté rustique.
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Ne pas chercher une fausse beauté, ne pas créer une fausse foi, telle est la volonté des derniers poèmes.
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Voilà qui colle à notre actualité électorale, Masson traduit que "l’homme d’état est un homme disert". Poème de sentences et pourtant poème de révolte, à la fin c’est au théâtre naturaliste que s’en prend Yeats, rêvant d’une forme lyrique, d'un art proche de la musique pure.
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On quitte Yeats sur des plaintes amoureuses ironiques. Come let us mock at the great, sachons rire des puissants ou des grands.
"Je chante les causes perdues, crains celles qui ont triomphé/Je retourne sur les champs des batailles déjà livrées."
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Provenant de l'émission
Jacques Bonnaffé lit la poésie, du lundi au jeudi de 15h55 à 16h sur France Culture
Du lundi au jeudi, 5 minutes de lecture par Jacques Bonnaffé avec un poète différent chaque jour.