

Entre tradition et globalisation, les musiques latino marquent l'identité de la région et diffusent ces genres au niveau mondial. Concilier les instruments et rythmes traditionnels avec les impératifs actuels: tels sont les objectifs de la cumbia, du reggaetón, et du tango explorés dans l'émission.
- Jean-François Césarini Député LREM, 1ère circonscription du Vaucluse
- Thomas London directeur du Healtcare Data Institute
- Wladimir Pandolfo Directeur artistique chez Warner
- Ugo Bernalicis Député France Insoumise du Nord, président de la Commission d'enquête sur les obstacles à l'indépendance du pouvoir judiciaire
Numérique et environnement : je t’aime, moi non pluDans l'actualité de Soft Power, nous revenons cette semaine sur la mort du couturier et styliste Azzedine Alaïa.
Sommaire de l'émission : comment les musiques latinos déferlent sur le monde
Dans cette émission, retrouvez de nombreux reportages réalisés en Colombie, au Chili, en Uruguay et en Argentine avec l'animateur radio Luciano Banchero et le Ministre de la culture Pablo Avelluto.
La sélection des musiques diffusées est agrémentée sur un article à retrouver ici.
Longtemps après les succès en France du tango, de la salsa ou de la samba, une nouvelle vague hispanique, très commerciale, déferle sur le monde. Qui sont ces artistes ? Où sont-ils produits ? Et quels sont ces nouveaux genres qui fusionnent entre eux ?
La sélection des musiques diffusées est agrémentée sur un article à retrouver ici.
L'invité de Zoé Sfez
Zoé reçoit aujourd'hui Thomas London, directeur du Healthcare Data Institute, pour débattre de l'intérêt de rendre publiques les données de santé.
Le numérique est politique : le débat
Numérique et environnement : je t'aime, moi non plus
Entre Ugo Bernalicis, député La France Insoumise et Jean-François Cesarini, député La République en Marche. Sur les relations contradictoires entre le numérique et l'environnement.
Les infrastructures numériques (comme les serveurs) consomment une quantité très importante d’énergie : l’industrie numérique représenterait aujourd'hui près de 10% de la consommation mondiale d’énergie.
Paradoxalement, le numérique pourrait offrir des solutions énergétiques : exploitation de la chaleur produite par les serveurs pour chauffer des maisons, recyclage des outils numériques... la loi permet déjà de lutter contre l’obsolescence programmée de ces produits, mais elle est peu effective.
Faut-il aller plus loin et également imposer l'intégration du coût de recyclage des objets ?
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