Ils ne se connaissaient pas avant de converger sur la commune de Boulc, dans la Drôme, où ils se savent à l’abri des ondes. Un infographiste parisien, atterri là après plusieurs mois d’errance. Une bergère installée dans une caravane, loin de tout appareil électrique. Un retraité de l’Education nationale, reconnu invalide pour « irradiation ». En droit, l’électro-hypersensibilité n’existe pas.
Parce que ces zones très faiblement irradiées, qualifiées de « blanches » par les opérateurs, sont progressivement amenées à disparaître pour assurer une couverture numérique maximale, le village de Saint-Julien-en-Beauchêne (Alpes du sud) se propose de rester zone blanche pour l’accueil de ces « réfugiés des ondes ».
En plateau :
- Aurélien Ferlay , conseiller régional, membre de la commission "société de l'information" à la Région Rhône-Alpes et membre du comité régional "Rhône-Alpes numérique"
- Jean-Michel Garnier , porte-parole en Rhône-Alpes de l'association Une terre pour les EHS
Marc a 43 ans. Infographiste à Paris, il s'est découvert électro-sensible et a rejoint Philippe Tribaudeau dans le hameau de Souvestrière, à Boulc (Drôme). Une simple étape, espère-t-il, sur la route d'une "zone blanche" qu'il appelle de ses voeux:
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Marc
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