

Ils vivent parfois depuis leur plus tendre enfance dans le brouhaha de la ferme familiale, habitués au gloussement des oies et à la démarche véloce des canards. Mais depuis quelques semaines, ils se réveillent le matin dans le silence le plus total...
- Marie-Pierre Pée Présidente du CIFOG (Comité Interprofessionnel des Palmipèdes à Foie Gras)
Ils vivent parfois depuis leur plus tendre enfance dans le brouhaha de la ferme familiale, habitués au gloussement des oies et à la démarche véloce des canards. Mais depuis quelques semaines, ils se réveillent le matin dans le silence le plus total. En application du principe de précaution après la découverte d’une nouvelle souche de la grippe aviaire, le virus H5N8, de nombreux éleveurs de « palmipèdes à foie gras » ont dû conduire à l’abattoir le moindre caneton de leur troupeau.

En reportage : Avec le vétérinaire Xavier Banse, spécialisé dans les palmipèdes, sur l’exploitation landaise de M. Duval à qui il reste quelques bêtes ; chez Chantal Brethes à Montaut qui a dû conduire à l’abattoir la totalité de ses 13 400 oies et 5 600 canards.

En plateau : Marie-Pierre Pée, présidente du CIFOG (Comité Interprofessionnel des Palmipèdes à Foie Gras)
Voir ici le site du Modef, Mouvement de défense des exploitants familiaux, des Landes.

Emission enregistrée vendredi 10 mars dans les studios de France bleu Béarn.
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