Dylan Thomas (1914 - 1953)

France Culture
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production : Michel Pomarède

réalisation : Guillaume Baldy

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"Dylan Thomas, l’enfant terrible des lettres britanniques"

Dylan Thomas
Dylan Thomas
© Radio France

Visage poupon, chevelure bouclée , Dylan Thomas a gardé de son enfance, une apparence juvénile. Une enfance marquée par une initiation précoce à la littérature et notamment à Shakespeare découvert dès l’âge de 3 ans . Son père professeur d’anglais aimerait qu’il fasse des études mais Dylan n’excelle qu’en poésie ! Dès 7 ans, il griffonne, à 11 ans il dirige la publication de son école primaire et avant l’âge de 20 ans, il aura écrit plus de 200 poèmes. Un jaillissement qui rappelle celui d’Arthur Rimbaud. Génie précoce, Dylan Thomas est adulé tardivement par les Beatles qui inscrivent son visage sur la couverture de leur album Sergent Pepper’s, et aussi par un certain Robert Zimmerman qui a reconnu à demi-mots avoir changé son patronyme en hommage au poète gallois.En 1950, Dylan Thomas joue à la pop star aux Etats-Unis : lectures publiques, soirées arrosées, maîtresses. En 1953, il meurt dans un hôtel de New York après avoir bu d’affilée « 16 Whisky ». Vraie ou fausse l’information nourrit la légende du poète maudit.

Avec le témoignage exclusif de la petite fille de Dylan Thomas : Hannah Ellis et aussi le cinéaste Jules-César Muraciole, auteur de « Dylan, enfant de la vague » pour la collection un siècle d’écrivain, de Lili Stajzn qui a traduit chez Denoel Graphic « Un Noêl d’enfant au Pays de Galles », Christine Carcassonne, ingénieur d’études à l’université Aix-Marseille et le metteur en scène Stefan Meldegg.