Démesure, hélicos, folie totale : les images délirantes du retour de l'équipe de foot argentine à Buenos Aires
Par Victor Vasseur, AFP
Des millions d'Argentins ont célébré à Buenos Aires leurs champions du monde. Une fête délirante au point de rendre impossible en bus la fin de parade, que l'équipe de Lionel Messi a fini par un survol en hélicoptères.
Des supporters ivres de joie, des scènes de liesse : depuis dimanche, des millions d’Argentins fêtent la victoire de leur sélection nationale face à la France. Mardi, plus de cinq millions de personnes, selon une source de la municipalité, s'étaient massées sur le parcours de l'Albiceleste, entre le complexe de la Fédération argentine (AFA) à 32 km, et le cœur de la ville. Une foule compacte à perte de vue. À tel point que des médias ont décrit "la plus importante mobilisation populaire de l'histoire" de l’Argentine.
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Au bout de quatre heures, le bus des "tricampeones", n'avait parcouru qu'une poignée de kilomètres, ralenti le long du chemin par des dizaines de milliers de supporters, avançant au pas au milieu d'une marée agglutinée aux couleurs bleu ciel et blanc. Les joueurs n’ont pas pu rallier le lieu d’arrivée prévue, l’Obélisque, point névralgique des célébrations, cet "emblème du peuple porteño", où la première fois fut hissé le drapeau national dans la capitale, en 1812. À la place, les champions du monde ont survolé tout le parcours prévu en hélicoptères.
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Des images de télévisions argentines ont montré, à un moment donné du parcours, un supporter tentant de sauter dans le bus des joueurs alors qu'il passait juste au-dessous d'un pont routier, mais manquant sa réception, et terminant sa chute dans la foule compacte qui suivait le bus à pied.
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Une fois la parade terminée à Buenos Aires, la fête ne s'est pas achevée pour autant. Dans les avenues un peu plus clairsemées, chansons, tambours, cornes de brume, et des drapeaux ciel et blanc, inombrables, portés à bout de bras, autour de la tête, de la taille, attestaient à la tombée du jour d'une liesse sur laquelle personne ne voulait baisser le rideau.