Richard Roman : berger marginal, coupable idéal

France Inter
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Procès Céline Jourdan - Décembre 1992. Grenoble . Ancien palais de justice. Richard ROMAN, accusé aussi, après son acquittement
Procès Céline Jourdan - Décembre 1992. Grenoble . Ancien palais de justice. Richard ROMAN, accusé aussi, après son acquittement
© PHOTOPQR/LE DAUPHINE LIBERE - GRENOBLE

C’est l’histoire d’une colère populaire, celle d’un village contre ceux qu’on accuse du meurtre de Céline. Un sentiment qui s’exprimera à plusieurs reprises par des cris, des coups, et des pulsions de vengeance.

C’est l’histoire d’un combat pour une vérité, celui d’un homme accusé d’un crime qu’il n’a pas commis. Il s’appelle Richard Roman. Son nom est jeté en pâture par les journalistes, les gendarmes, les juges. Parce qu’il ne vit pas comme les gens du village, qui l’ont surnommé "l’Indien", personne ne veut croire à son innocence. Comme le chantait Georges Brassens dans sa chanson, La Mauvaise Réputation , « Mais les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux ».

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Mais c’est aussi l’histoire d’une justice qui déraille, et qui ne protège pas la présomption d‘innocence.

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Pour en parler, nous recevons Lionel Duroy , écrivain et ancien journaliste qui fut le premier à publier une contre-enquête sur la mort de Céline Jourdan, dans l’hebdomadaire_L’événement du jeudi ._

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