Goncourt 2012 pour "Le sermon sur la chute de Rome", il vient de rafler le prix littéraire du Monde pour "À son image". Il y brosse le portrait bouleversant d'une jeune photographe corse ainsi que celui, sans concession, de son île. De l'art et de la philosophie, avec Jérôme Ferrari, invité d'Augustin Trapenard.
- Jérôme Ferrari écrivain
Depuis toujours, les romans de Jérôme Ferrari témoignent d'une obsession pour l'image, son sens, sa fonction et ses limites. À travers le portrait d'une photographe, il interroge la puissance et les écueils de toutes croyances, qu'elles aient pour objet Dieu, une nation, un homme ou bien l'art. On parle foi, obscénité mais aussi éducation nationale avec Jérôme Ferrari.
Jérôme Ferrari sur l'image et la photographie
L'illusion avec les images c'est que l'on croit porter sur elles un regard innocent. On pense que l'on peut regarder sans interpréter.
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Il y a des questions éthiques inhérentes à toutes formes de représentation. Évoquer de manière euphémisante peut être obscène par exemple.
Jérôme Ferrari et l'art du roman
Un grand roman n'ajoute rien au monde, il change la manière de le voir.
Jérôme Ferrari sur la politique
Dans toute forme de militantisme, le risque est de se dissoudre dans un groupe et d'y perdre sa propre capacité de jugement.
Carte blanche
Pour sa carte blanche, Jérôme Ferrari a écrit un texte inédit.
Programmation musicale
Nirvana – The man who sold the world
Charlotte Gainsbourg – Kate
Programmation musicale
- 09h27
The man who sold the world - 09h38
Kate
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