Libre comme Zahia

Il suffit de prononcer son prénom pour se rendre compte qu'elle ne laisse personne indifférent. 

Dans "Une fille facile", de Rebecca Zlotowksi, à l'affiche demain, elle joue de son image, s'amuse des préjugés avec légèreté, et revendique sa liberté.  

On parle de désir, de corps, de prisons, de femmes égyptiennes, de moralisation, de Luis Bunuel et de Roman Polanski, avec Zahia Dehar, invitée de Boomerang. 

Extraits de l'émission

"Pour moi, le mot 'pute' n'est pas une insulte. J'ai toujours préféré ne pas être touchée par ce mot-là"

"Au cinéma, je me sens libérée. Cela m'apporte beaucoup de légèreté de jouer"

"Dès qu'une femme montre des signes de féminité, c'est tout de suite considéré comme quelque chose de péjoratif"

"Les femmes ne se soutiennent pas entre elles, elles s'emprisonnent"

"J'ai grandi en regardant des films égyptiens des années 1950-1970. J'aimais leurs manières de mettre en scène les femmes. Elles étaient mystérieuses, magnétiques."

Carte blanche

La carte blanche de Zahia est le film "Cet obscur objet du désir" Luis Luis Buñuel

Aller plus loin

La réalisatrice du film dans lequel joue Zahia, Rebecca Zlotowksi, est l'invité de Laure Adler dans L'Heure bleue ce soir. Rendez-vous donc à 21h pour en savoir plus sur Une fille facile

La bande annonce du film 

Programmation musicale

Niagara - L'amour à la plage

Rosalia – Aute cuture