

Dans une société hyper individualiste et narcissique, quels rapports cultivons-nous avec ce corps qui apparaît parfois comme un alter ego que nous aimons et haïssons à la fois ?
- Guillemette Odicino journaliste
- Sophie Cheval Psychologue et auteure
- Aline Perraudin Directrice de la rédaction de Santé Magazine
- David Le Breton Anthropologue, sociologue, membre du Laboratoire Cultures et Sociétés en Europe au CNRS
C’est l’été ! L’occasion bien sûr d’exposer nos corps boudinés ou fermes...
Ce corps qui porte nos idéaux de santé, de jeunesse, de beauté et de minceur... Ce corps qui ressent, qui jouit, qui éprouve du plaisir... Ce corps éprouve douleurs, émotions, sensations… Ce corps qui séduit et qui peut repousser quand il ne plaît pas…
Ce corps qui porte les traces de notre histoire personnelle : kilos en trop, rides, tatouages, scarifications, blessures, caresses. Un corps en représentation que l’on pare, sculpte, modèle, tatoue, scarifie, affine, selon nos idéaux personnels et les impératifs esthétiques. Et puis nous évoquerons deux films où des personnages féminins se réconcilie, se réapproprie leur corps en toute liberté, dans L’Apollonide de Bertrand Bonello et L’Ennui de Cédric Kahn.
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