Nouvelle semaine de collecte de bonnes idées et d’initiatives qui aident à mieux vivre.
Exemple : quand les habitants d’un village se voient mettre à disposition un théâtre qui pourrait s’apparenter à une maison du peuple. Cela se passe à Bécherel, village d’Ille-et-Vilaine, déjà connu pour faire partie des communes labellisées Villages du livre. 1er invité de ces Carnets, Simon Gauchet directeur de l'Ecole Parallèle Imaginaire.
Nous découvrirons ensuite avec Camille Pichon une application qui ne peut qu’apporter un peu de culture et de littérature dans nos journées si étroitement cloisonnées. Il s’agit d’une sorte de Netflix littéraire qui renoue avec la tradition du roman feuilleton. L’application s’appelle Rocambole. Tiens, ça me dit quelque chose.
Il y a quelques mois, nous vous avions présenté la création de Julie : Comm’une opportunité. Julie fait partie de cette foule, qui se densifie, de personnes qui désertent les villes et souvent Paris pour s’installer ailleurs et vivre différemment et mieux si possible. Elle, c’est la Vendée qui l’a convaincue de franchir le pas. Restait encore à créer une activité. Comm’une opportunité. Commune à l’image des milliers de petites villes ou villages qui cherchent le médecin, l’artisan, le service ou l’entreprise qui fait défaut. Une région, un département, une communauté de communes, une commune, chaque entité est libre de faire valoir ses atouts et ses attentes en s’inscrivant sur le site. En face les porteurs de projets, comme on les appelle, donc les personnes qui ont un projet d’activité ou une profession qu’elles souhaitent mettre à disposition d’un territoire d’accueil, peuvent déposer leur annonce. Entre les annonces des collectivités et celles des actifs, la plateforme crée le lien. Plus de 1200 collectivités sont déjà inscrites. La dernière nouveauté est le partenariat que la plateforme vient de signer avec le syndicat des jeunes médecins pour répondre à cette dure réalité d’une désertification qui continue à progresser. En 3 ans, ces déserts médicaux ont progressé de 50% en France. Les collectivités ne trouvent pas de solutions et les jeunes médecins n’identifient pas les communes qui ont besoin d’eux.
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