Carnets inter-départements du 26 mars

France Inter
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Une autre approche de nos rubriques jeunes aujourd’hui avec un projet de résidence de composition musicale qui nous permet d’envisager un été plus chaleureux et moins déshumanisé.

Cela s’appelle « inventer pour  apprendre » et durant 10 jours de jeunes musiciens vont pouvoir  approcher la composition musicale et donner naissance à une création originale. Notre invité est Yannick Chapuis, responsable du projet de résidence de composition musicale à Saoû (Drôme) du 7 au 17 juillet.

A l’opposé de cette génération, c’est dans les EHPAD que  Nathalie Yves va nous conduire avec son Comptoir de l’Hirondelle qui  invente une conception festive du port de vêtement. Je vous conseille la  lecture de l’article de Laurent Grzybowski à ce sujet dans les pages  numériques de La Vie

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C’est une invitation très originale que je vous transmets. Elle nous vient de  Marie-Laure Desbordes, comédienne et correspondante des Carnets. Dans le  marasme culturel que l’on traverse, le réalisateur et acteur Maxime  Motte (il a réalisé entre autres « comment j’ai rencontré mon père »  avec Isabelle Carré et François-Xavier Demaison) a imaginé la  réalisation d’un film policier réalisé et diffusé en direct sous le  titre de « Qui tua la Diva ?». Cette expérience inédite rend le public  complice de l’intrigue. On fait notre cinéma est le collectif qui  entoure ce réalisateur. Il est composé d’artisans du 7ème art des 6  coins de la France qui vont se retrouver pour la deuxième fois. En effet  un premier test en version court-métrage avait été réalisé lors du  premier confinement. Pour cette version longue le collectif s’est  adjoint les services d’exploitants de salles de cinéma, des directeurs  du festival du film d’Arras ainsi que de deux compagnies théâtrales des  Hauts-de-France. Pour le reste l’organisation est digne d’un long  métrage projeté en salle avec un compositeur de la bande originale, un  superviseur technique, un auteur (le romancier Hervé Gransart) et même  un illustrateur pour l’affiche du film. Selon Marie-Laure, le noyau des  équipes et artistes est picard et la réalisation est effectuée depuis un  village de l’Oise (à Songeons-ça laisse songeur). La belle équipe  planche sur le projet depuis 3 mois. Il ne reste plus qu’à se brancher  sur le site du film, dimanche prochain, 28 mars à 18h30 heure d’été.