

Le Congrès Mondial de la Nature, beaucoup de déclarations et de vœux pieux, un engament de la société civile, mais quels engagements réels des états ?...
Le Congrès Mondial pour la Nature, organisé par l’union internationale pour la conservation de la nature, s’est tenu du 3 au 10 septembre à Marseille.
S’il s’est conclu par un appel à une reprise post-pandémie fondée sur la nature, certains observateurs relevèrent que les peuples furent complètement exclus de ce genre de conférence, d’autres y virent que ce fut un congrès plus politique avec des engagements qui se faisaient attendre et pour d’autres se fut un congrès où certains se donnèrent bonne conscience par leur présence.
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Ce qui est clair, c’est que l’UICN a présenté sa « liste rouge » actualisée où il apparaît que38 500 espèces sont "menacées", dont les dragons de Komodo et 37% des espèces de requins et de raies dans le monde sont en danger.
Quant au manifeste de l’UICN publié vendredi 10 dernier, il appelle à des changements fondamentaux devant l’urgence de la crise. Les Chroniques littorales ont proposé un « débriefing » à Nicolas Imbert présent à ce congrès.
Nicolas Imbert est le directeur exécutif de Green Cross France, la section française de Green Cross International, une organisation non gouvernementale internationale à but environnemental. Le Président de Green Cross France est Jean-Michel Cousteau.
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