"Tu m'avais dit Ouessant"...

Moutons à Ouessant
Moutons à Ouessant ©Getty -  Philippe BOISSEL
Moutons à Ouessant ©Getty - Philippe BOISSEL
Moutons à Ouessant ©Getty - Philippe BOISSEL
Publicité

Une ode aux îles, aux îliens et aux îliennes, un poème d'amour à Ouessant, un livre hypnotique que l'on ne peut quitter qu'à regret... A lire sans aucune modération.

À l’hiver 2015, Gwenaëlle Abolivier réside trois mois dans le sémaphore  de l’île d’Ouessant, au bout de la Bretagne, sa région natale. C’est  pendant, et à la suite de ce séjour, qu’elle écrit ce récit. 

Là, sous le  grand phare du Créac’h, se racontent un voyage immobile et une  expérience d’immersion au contact des éléments et des îliens

Elle  explore les lieux et rencontre les habitants, les derniers marins de  commerce, les guetteurs-sémaphoriques et gardiens de phares, et les  femmes, gardiennes des lieux, qui occupent une place prépondérante sur  cette île du Ponant. 

Publicité

On découvre à quel point ce territoire est à part : territoire de l’extrême qui entretient un rapport particulier à la  noirceur et à la mort. Face à la mer et sous les faisceaux du grand  phare, l’auteure vit cette expérience comme une renaissance dans le  passage et l’exil que représente l’écriture.

Le blog de Gwenaëlle Abolivier

L'équipe