Voici un demi siècle disparaissait Ysujiro Ozu, le cinéaste japonais qui aura influencé tant de réalisateurs à travers le monde. Wim Wenders entre autres qui dit « si notre siècle donnait encore une place au sacré, s’il devait s’élever un sanctuaire du cinéma, j’y mettrais pour ma part l’œuvre d’Ozu. Une œuvre commencée en 1927, au temps du muet et qui sur une trentaine d’années donnera une succession de chefs-d’œuvre. En salle, formidable initiative du distributeur Carlotta, une rétrospective Ozu avec trois films en version restaurée. Deux sont célébrissimes « Le voyage à Tokyo » et « le gout du saké » et le troisième, « Le Fils Unique » est une découverte. Tourné en 1936, c’est un mélodrame tout en douceur tragique, bien dans la manière unique du maître. Le cinéaste Pascal-Alex Vincent qui, soit dit en passant, a beaucoup œuvré pour le cinéma japonais en France, Pascal Alex Vincent sera le second invité de cette Cosmopolitaine.
Mais tout de suite, Hoai Huong Nguyen pour son roman "L'Ombre Douce" paru chez Viviane Hamy
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