Côté Club, le rendez-vous de toute la scène française et plus si affinités. Une heure pour faire le tour de l’actualité musicale et plus encore. Quand la musique rencontre les arts, du cinéma à la BD, du théâtre à la littérature. Bienvenue au Club !
Lisa Portelli
Album : L'innocence
Avant « L’innocence », Lisa Portelli en trois albums avait su prendre de façon délicate une place remarquée dans la chanson faîte en France, à la foi insolente et réfléchie, déjà portant haut la beauté des idées et du monde. Un jour au détour d’une proposition de Stebane Lam de revisiter son répertoire habitué à la guitare, Lisa Portelli découvre le piano, et comme une évidence l’adapte à sa vision artistique. Point de rupture ici, mais point de départ pour ce nouvel épisode de son voyage parmi les mots, les sons et les émotions. Ainsi, en douceur et profondeur, elle nous invite à une promenade, pas au sens d’une simple déambulation contemplative mais plutôt avec les sens aux aguets à regarder et à accepter les choix que la vie offre à ceux qui veulent bien le voir.
Avec l’arrivée du piano, sa voix s’autorise à être plus douce, la sensualité apparait sans risque d’excès, sa trentaine a trouvé son partenaire artistique. Au même moment la poésie devient une compagne de vie dans son processus créatif où l’errance a sa place, « Ma découverte de la poésie a changé ma façon d’écrire et de faire de la musique ». L’être poétique domine la Lisa du quotidien, car « la poésie est un rapport au monde plus fort encore que la chanson ». « L’innocence » irradie cet état d’esprit qui apaise les douleurs en paroles et musiques. Mais attention, ses chansons ne sont pas des poèmes, ses chansons restent simples à s’approprier, ses chansons surtout n’oublient pas le corps de celui qui les entend.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Gabriel Tur
EP : Ville en feu
VILLE EN FEU est mon deuxième EP autoproduit, Je l’avais d’abord composé et maquetté seul en résidence au CentquatreParis, avant de le fixer au studio Tropicalia entouré de musiciens proches s’appuyant sur une base live : basse, guitare, batterie, synthé modulaire. J’ai ainsi collaboré avec de nouvelles personnes comme Étienne Jaumet (Zombie Zombie) au saxophone, boîte à rythme et synthé modulaire, Lonny (cordes) ou encore Célia Millat (chœur). J’ai également conservé des fidélités avec Jean Thevenin JAUNE (sampler et batterie), Thomas Delpérié (guitare électrique) ainsi que Guillaume Jaoul (prises de son) et Angy Laperdrix au mixage.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Elliott Armen
Album : Helium balloons
Elliott Armen, auteur, compositeur, interprète a grandi entre Paris et sa terre natale, St-Malo.
Depuis son adolescence, il compose à la guitare et au piano, comme un écho à son attachement et aux paysages qui encerclent sa maison familiale située au bord d'un magnifique estuaire.
Après le lycée, Elliott Armen est parti sillonner l'Europe pendant deux ans.
Travaillant de ferme en ferme, ses hôtes lui ont transmis tout au long de ses voyages, un savoir puisé de la terre nourricière.
Dans ses bagages, ses instruments de musique, son cahier de notes et de quoi enregistrer avec les moyens du bord ses premières chansons.
Aujourd’hui installé dans la maison familiale bretonne, Elliott Armen cultive un terrain en permaculture, redonnant vie à la biodiversité environnante et à cette ancienne maison en pierre qui a marqué son enfance.
Elliott Armen qui a empreinté son nom à celui d’un phare construit en pleine mer à l'extrémité de la Chaussée de Sein, a enregistré son véritable premier album dans un studio niché sur les hauteurs de l’île de Ouessant.
En digne héritier de Elliott Smith, Sufjan Stevens, ou Andy Shauf, le jeune Breton mélange avec une singularité qui lui est propre, les accords de guitare et de piano à sa voix particulière, le tout teinté d’une atmosphère intime et boisée, attachante et intemporelle, toujours ancrée entre terre et mer.
ARMEN - Ar Men « le rocher » ou « la pierre » en Breton.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
L'équipe
- Production
- Autre
- Autre
- Autre
- Autre
- Autre