Espions, une histoire vraie - Page 2

L’espionne de la Corée du Nord responsable en 1987 de l’explosion d’un Boeing sud-coréen qui provoqua la mort de 115 personnes.

L’espion d’origine espagnole, formé par les services secrets soviétiques pour devenir un tueur, est envoyé en 1940 à Mexico pour s’infiltrer, sous une fausse identité, parmi les proches de Léon Trotsky, alors exilé au Mexique.

L’espion de la CIA qui en 1979, en pleine révolution iranienne, a réussi à exfiltrer de Téhéran six diplomates américains, en les faisant passer pour une équipe de cinéma canadienne.

Cambrioleur spécialisé dans les coffres forts, escroc, grand amateur de femmes et de belles fringues, cet Anglais du peuple se révélera un des espions les plus extraordinaires de la Seconde guerre Mondiale.

Pendant toute la guerre du Vietnam, Pham Xuan An, a été un brillant journaliste et correspondant à Saigon pour le magazine Time.

Allemande et communiste convaincue, Ursula Kuczinsky, nom de code Sonya, accro au danger comme à une drogue, fut dans les années 1930-1940, de Shanghai à Berlin, en passant par la Mandchourie, la Suisse et l’Angleterre, la plus grande espionne de l’Union soviétique.

Officier parachutiste et agent du SDECE, les services secrets français, Paul-Alain Léger était un véritable maître dans l’art du renseignement et de la ruse.

En 1961, se faisant passer pour un Syrien, l’espion israélien Eli Cohen réussit à s’infiltrer en Syrie, l’ennemi juré d’Israël, et à pénétrer le cœur du pouvoir à Damas.

Jeune Américaine de bonne famille, plutôt littéraire, elle s'engage par conviction à la CIA après les attentats du 11 septembre 2001 et l'assassinat au Pakistan du journaliste Daniel Pearl.

Cet officier du service d’action du Mossad, engagé à 16 ans dans le combat sioniste avant même la naissance de l’Etat d’Israël, sera chargé d’éliminer les terroristes palestiniens impliqués dans l’assassinat des athlètes israéliens aux JO de Munich en 1972.

En 1983 ce diplomate français est arrêté en pleine rue à Paris par la DST. Il sera reconnu coupable d’avoir pendant vingt ans fourni des renseignements à la Chine populaire quand il était en poste à l’ambassade de France à Pékin.

Avec ses 3000 agents infiltrés à l’Ouest et son soutien au terrorisme international, celui qu’on surnomme « le plus grand maître-espion du XXe siècle » a pendant toute la Guerre froide dirigé la Stasi, la puissante et terrible police secrète de l’Allemagne de l’Est.