Alors que la "draft" de la NBA se déroulait cette nuit, LaMelo Ball, petit dernier d'une fratrie de trois basketteurs, a été l'une des vedettes de la soirée. Il faut dire que toute l'Amérique suit les aventures du couple Ball et de ses trois rejetons, stars de la télé-réalité et des réseaux sociaux.
B-A-LL comme un ballon, ça tombe bien pour une famille se basketteurs ! Il y a le père LaVar, le chef de l’entreprise familiale, qui a vu en ses trois garçons une belle occasion de concilier talent et business. Persuadé qu’il tenait là le successeur de Michael Jordan. Trois garçons, trois basketteurs. Lonzo, l’ainé, 23 ans, présenté par son père comme la 7eme merveille du monde du ballon orange. Choisi par les Lakers de Los Angeles, mais qui a fait un peu pschitt. Un peu beaucoup. Il y a aussi LiAngelo, 21 ans, le cadet, non retenu par la NBA, qui traine ses guêtres dans l’antichambre à Oklahoma city, mais continue de rêver tout haut.
Et puis, il y a le petit dernier, LaMelo, 19 ans, peut être la plus grosse attraction de la famille, parti jouer en Lituanie puis en Australie. Il vivait cette nuit le moment le plus important de sa jeune vie : la draft de la NBA, le grand show durant lequel les 60 meilleurs espoirs du basket mondial attendent d’être appelés par une grande équipe. Et le petit LaMelo a ete choisi très vite, dès le 3eme rang, et atterri à Charlotte, chez les Hornets... dont le patron n'est autre qu'un certain Michael Jordan !!! Le roi Jordan va devoir composer avec toute le clan Ball !
C’est une famille très.... démonstrative et mégalo !
Les Ball, c’est un peu les Kardashian du basket. Les parents ont flairé le bon coup, et leurs trois fils sont déjà des stars depuis le lycée. Il faut dire que la famille a son propre show de télé-réalité sur Facebook, baptisé "Ball in the city", avec des caméras qui suivent tout le monde, tout le temps. Le pire, c’est que ça marche. On en est déjà à la saison 6 ! Tous les États-Unis ont fait connaissance avec ce couple d’anciens basketteurs d’université en Californie, devenu éleveur de champions. Parfois meilleurs sur les réseaux sociaux que sur les terrains de basket.
Mais LaMelo Ball, le petit dernier, lui excelle dans les deux. Plus de 5 millions et demi d’abonnés sur Instagram, une ligne de vêtements baptisée LaFrancé, avec des sweats à plus de 100 euros. Il faut dire que la devise chez les Ball, c’est surtout d’avoir le verbe haut. Et pas peur du ridicule. Quand le père LaVar se dit sûr de battre Michael Jordan en un an contre un, Sa Majesté lui a répondu : impossible même sur une jambe.
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