

On finit la semaine avec le parrain de la Britpop, une icône outre manche, le Modfather devant lequel Blur et les autres se prosternaient : Paul Weller
Programmer Paul Weller en 1992, c’était vraiment un coup de maître de Bernard Lenoir.
Paul Weller superstar en Angleterre depuis les années 70, statut culte mais plus confidentiel en France qui ne mesure pas vraiment la carrure du bonhomme , sa place encartée dans l’histoire du rock britannique : le trait d’union entre les Who, Blur et Artic Monkeys.
Quand Bernard Lenoir invite Paul Weller, il remet les pendules à l’heure, c’est comme s'il disait : Voilà on est en pleine période Britpop. D’accord vous adorez Blur, Oasis, Pulp, mais attendez les gars, y a un type qui est à l’origine de tout ça, un fils d’ouvrier, qui a travaillé politiquement travaillé la musique, c’est Paul Weller.
En 1992 il produit, sort et signe son premier album solo : Paul Weller. Va falloir écouter ça
Bernard Lenoir réveille la nuit, Paul Weller la justifie.
La setlist
- Kosmos
- Uh Huh Oh Yeh
- Sitting in Limbo (Jimmy Cliff cover)
- Amongst Butterflies
- Bull-Rush
- Everything Has a Price to Pay
- Above the Clouds
- Ohio (Crosby, Stills, Nash & Young cover)
- Into Tomorrow
- Bitterness Rising
- All Year Roun
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