

Le doudou aujourd’hui dans GBVF, pas celui des enfants: celui des adultes. Impossible de savoir combien exactement mais de nombreux adultes, hommes comme femmes, ont encore un doudou et on aurait tort d’y voir un symbole d’immaturité. Ils sont des repères, des gris gris, voir des anxiolytiques sans effets indésirables.
Ça peut être un lapin en peluche, aux oreilles atrophiées à force d’avoir été trop suçotées. Mais aussi un carré de tissu, un jouet de l’enfance, pourquoi pas, une clé USB qui fait coin coin et ne nous quitte pas, ou encore pour certains, une voiture…
Ces objets fétiches qu’on appelle doudou pour les enfants existent aussi dans le monde des adultes. Femmes, comme hommes… S’ils peuvent être le signe d’un malaise, ils sont aussi comme des totems protecteurs. Nostalgiques peut-être, mais rassurants dans un monde peuplé d’incertitudes.
Et parce qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien, dites nous si vous avez conservé votre doudou d’enfant, si vous en avez trouvé un nouveau à l’âge adulte, ou même si vous êtes interpellés par ces grandes personnes qui gardent ce besoin d’enfance. Appelez nous au 014524700 ou racontez nous, racontez vous sur l’appli de France inter…
Avec :
- Armelle Oger, journaliste pour le magazine We Demain
- Lorie Bellanger, psychologue clinicienne spécialisée dans la pratique avec les enfants et les familles
- Catherine Pierrat, psychothérapeute et psychologue en crèche à Nice
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