Histoires politiques

Charlotte Chaffanjon revient ce matin sur la garde à vue de la journaliste Ariane Lavrilleux, mais plus encore sur l’absence de réaction du gouvernement...

Entendez-vous ces politiques qui nous promettaient hier une révolution démocratique et qui aujourd'hui pleurent sur la fin du cumul des mandats, l’abandon du septennat ou la suppression de la réserve parlementaire, que les députés pouvaient distribuer à loisir ?

Le Rassemblement national qui a décidé de défendre le 12 octobre une proposition de loi pour faire reconnaître l’endométriose, cette maladie gynécologique très répandue, comme une « affection de longue durée »… Pourquoi ce choix ?

Le primaires, c'est ce système qui consiste pour un parti à organiser une grande élection pour désigner son candidat à la présidentielle. Avant, c’était à la mode, c’était américain, c’était moderne ! Ca paraît loin, elles sont désormais au centre des critiques.

Rien n’aura été simple dans l’organisation de ce déplacement. Notamment entre le Vatican et l’Élysée, qui avaient chacun leurs exigences.

Plusieurs partis ont d'ores et déjà annoncé leurs têtes de liste pour les élections européennes de juin 2024, mais du côté des Républicains, c'est la panique ? Un début de réponse avec Charlotte Chaffanjon.

Il y a des petits ajustements techniques qui préfigurent de grands rétropédalages politiques… On a appris hier que le gouvernement étudiait le report (sous conditions) de l’interdiction de louer certaines passoires thermiques.

Les partis sont tous en ce moment en train de choisir leur tête de liste pour les européennes, qui se tiennent en juin 2024. Et elles ont toutes un point commun : la jeunesse !

Ce président s’est fait une spécialité de toujours tout repousser au lendemain. C’était particulièrement flagrant dans la lettre qu’il a adressée la semaine dernière aux chefs de partis, après leur longue rencontre à Saint-Denis fin août.

L’année à venir n’aura rien à voir avec l’année écoulée, dit Elisabeth Borne. Cette fois, terminé la technocrate qui accuse le coup après la gueule de bois des législatives, place à la femme politique, prête à en découdre et à jouer des coudes.

Dans une lettre adressée au président de parti politique qu'il avait reçue à Saint-Denis, Emmanuel Macron a repris à son compte l'idée d'un référendum sur l'immigration.

On se dispute sur l’interdiction des trajets en avion, on s’affronte sur la place de la voiture, on s’engueule autour d’un barbecue… Jamais la question des modes de vie n’a occupé une place aussi centrale dans le débat politique.