Emmanuel Macron, président de la République ©AFP - julien mattia / ANADOLU AGENCY / Anadolu Agency
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La tentation du large, ou préférence pour les affaires internationales, a touché les derniers présidents de la République. Ce fut le cas de Chirac, de Sarkozy et Hollande, qui ne s’en cachaient pas vraiment.
Si l’on faisait de la psychologie de comptoir, on pourrait dire que c’est peut être à force de recevoir des tomates lorsqu’ils se déplacent en France, alors que lorsqu’ils sont à l’étranger, c’est plutôt tapis rouge.
Mais plus sérieusement, on constate que l’intérêt pour les affaires du monde grandit en général avec le temps, et, en parallèle, une certaine perte d’illusion en France, pays dont on dit souvent qu’il est ingouvernable, et non sans raison. Le fameux « gaulois réfractaire » ne date pas d’hier.
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La tentation du large serait donc un découragement…
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